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La Tour Sombre T1                   10/20

Stephen King

 

 

 

Quatrième de couverture:  

"L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait..." Ce pistolero, c'est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d'un monde qui a "changé" et dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour ce faire, il doit arracher au sorcier vêtu de noir les secrets qui le mèneront ver la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps et de tous les lieux. Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature ? A-t-il conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d'un jeu de tarot bien particulier ? Le Pistolero devra faire le pari de le découvrir, et d'affronter la folie et la mort. Car il sait depuis le commencement que les voies de la Tour Sombre sont impénétrables...

 

 

Mon avis:

Pour commencer, il faut savoir qu'il y a un an, j'ai essayé de lire ce livre sans succès. J'ai abandonné, arrivée au milieu. Je l'ai recommencé sur les conseils de ma mère qui m'a assuré qu'il valait le coup de s'accrocher. J'ai peiné, mais finalement j'en suis venue à bout. Et je suis perplexe. L'histoire est tirée par les cheveux, incompréhensible du début à la fin. On nous livre très (trop) peur d'informations sur le contexte temporel et physique de l'histoire ainsi que sur les personnages. 

On pourrait croire un cahier de brouillon dans lequel un enfant écrit toutes les idées qui lui passent par la tête dans le chaos le plus total. Bien sûr, quand c'est Stephen King qui s'essaie à cet exercice, le résultat ne peut être une catastrophe totale.

Pendant tout le livre, on suit donc Roland, un pistolero parti pour une longue quête philosophique. Il vient dun monde différent du nôtre, dont on ne sait pas grand chose mais qu'on devine proche du nôtre grâce à quelques similitudes telles que des chansons "Hey Jude", ou bien des bars et des déserts dignes des plus grands westerns. Les personnages qu'il rencontre sur sa route sont hauts en couleurs, mais il faut vraiment perseverer pour raccrocher les wagons. Il est très simple de se perdre dans l'imagination de Stephen King.

De plus, cet opus offre très peu d'action. Sans action, sans aucune indication sur le réel but du livre, sans aucune connaissance sur son protagoniste, il est très facile de déccrocher.

Si vous voulez commencer ce livre, il faut que vous vous armiez de motivation et de patience dès le début et que vous n'oubliez pas que Stephen King est un génie de la plume, quoi qu'il arrive, poursuivez le. Si vous finissez le tome 1, vous aimerez sûrement le tome 2.

D'ailleurs, telle fut la question quand je refermais ce fameux tome 1: devais-je commencer le tome 2? J'hésitais vraiment. Sans les encouragements de ma mère, nul doute que j'aurais passé mon chemin et que cette histoire de Tour Sombre serait partie aux oubliettes.

Et pourtant désormais, je ne regrette absolument pas d'avoir persévéré.

 

Et vous, qu'en avez-vous pensé?

 

© 2015 by Plume d'Encre

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